(23-03-2017 / ALAD) L’Agence luxembourgeoise antidopage (ALAD) vient de dresser son bilan pour l’année 2016.

Au total, 202 contrôles urinaires ont été effectués pendant l’année écoulée. 157 contrôles ont eu lieu lors de compétitions dont 49 de façon inopinée.

45 contrôles ont eu lieu hors compétition sur des sportifs d’élite, dont 29 contrôles comportaient des prélèvements à la fois urinaires et sanguins.

200 analyses étaient négatives. 2 analyses ont été positives.

L’analyse d’un joueur de basketball licencié au Luxembourg a révélé la présence de carboxy-thc, substance spécifiée inscrite à la section S.8 de la liste des substances interdites. Il a été suspendu pour une période de 9 mois pour violation des règles antidopage.

Lors des championnats d’Europe Masters de Powerlifting en octobre 2016, l’analyse d’un sportif autrichien a révélé la présence d’hydrochlorthiazide, substance inscrite à la section S.5 de la liste des  substances interdites. Le sportif, qui avait été suspendu provisoirement, a reçu une réprimande avec la justification qu’il n’aurait pas commis de faute significative.

En 2016, un cycliste luxembourgeois a écopé d’une suspension de 4 ans pour s’être soustrait à un contrôle antidopage lors d’une compétition en Allemagne.

Le 10 février 2017, lors du Vectis Indoor Meeting à la Coque, l’échantillon d’un athlète grec a révélé la présence de 5-methylhexan-2-amine, substance inscrite à la section S.6 de la liste des substances interdites. Les autorités sportives compétentes en ont été informées.

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